
Le film de Mariana Otero
débarque
en DVD et VOD le 6 mars !
L’édition DVD sera accompagnée d’un entretien avec la réalisatrice ainsi que par des extraits de débats qui ont fait suite à la projection du film au moment de sa sortie. Ces interventions prolongent la réflexion sur le mouvement, ses suites et de nouvelles formes de démocratie.
– Loïc Blondiaux, Professeur et chercheur en science politique à la Sorbonne
– Frédéric Lordon, Chercheur au CNRS
– Mathilde Larrère, Historienne à l’Université Paris XIII
– Monique et Michel Pinçon-Charlot, Sociologues
– Philippe Urfalino, Directeur de recherche au CNRS
– Yves Sintomer, Professeur de science politique à l’Université Paris VIII
Le DVD peut être commandé en avant-première sur le site d’Epicentre Films. Il sera disponible le 6 mars dans les points de vente indépendants et les Fnacs, sur les plateformes VOD comme Universciné et sur les sites de ecommerce, notamment celui des Mutins de Pangée.
Le film de
Mariana Otero
débarque
en DVD et VOD
le 6 mars !

L’édition DVD sera accompagnée d’un entretien avec la réalisatrice ainsi que par des extraits de débats qui ont fait suite à la projection du film au moment de sa sortie. Ces interventions prolongent la réflexion sur le mouvement, ses suites et de nouvelles formes de démocratie.
– Loïc Blondiaux, Professeur et chercheur en science politique à la Sorbonne
– Frédéric Lordon, Chercheur au CNRS
– Mathilde Larrère, Historienne à l’Université Paris XIII
– Monique et Michel Pinçon-Charlot, Sociologues
– Philippe Urfalino, Directeur de recherche au CNRS
– Yves Sintomer, Professeur de science politique à l’Université Paris VIII
Le DVD peut être commandé en avant-première sur le site d’Epicentre Films. Il sera disponible le 6 mars dans les points de vente indépendants et les Fnacs, sur les plateformes VOD comme Universciné et sur les sites de ecommerce, notamment celui des Mutins de Pangée.
Prochains débats
Dimanche 25 mars à 17h à PORT-SAINT-PERE/SALLE DES ASSOCIATIONS :
en partenariat avec l’Association Anim’Action
lundi 26 mars à 20h30 à RENNES/CAFE LE PANAMA
Semaine du 4 avril MONT DE MARSAN/CINEMA ROYAL
Mercredi 4 avril à 20h, Samedi 14 avril à 18h30 et Dimanche 15 avril à 20h30 à THORENS GLIERES/CINEMA LE PARNAL : Séance-débat en partenariat avec ATTAC

L’Assemblée
un film de Mariana Otero
Pourquoi le film L’Assemblée ?
31 mars 2016, place de la République à Paris naît le mouvement Nuit debout. Pendant plus de trois mois, des gens venus de tous horizons s’essayent avec passion à l’invention d’une nouvelle forme de démocratie. Comment parler ensemble sans parler d’une seule voix ? Le film l’Assemblée sortira sur vos écrans le 18 octobre dans toute la France.
L’Assemblée
un film de Mariana Otero
Pourquoi le film l’Assemblée ?
Le 31 mars 2016, place de la République à Paris naît le mouvement Nuit debout. Pendant plus de trois mois, des gens venus de tous horizons s’essayent avec passion à l’invention d’une nouvelle forme de démocratie. Comment parler ensemble sans parler d’une seule voix ?
Prochains débats
Vendredi 23 mars à 20h à QUIMPER/MJC KERFEUNTEUN
dans le cadre du Festival Un Air de Liberté
Dimanche 25 mars à 17h à PORT-SAINT-PERE/SALLE DES ASSOCIATIONS : en partenariat avec l’Association Anim’Action
lundi 26 mars à 20h30 à RENNES/CAFE LE PANAMA
Semaine du 4 avril MONT DE MARSAN/CINEMA ROYAL
Mercredi 4 avril à 20h, Samedi 14 avril à 18h30 et Dimanche 15 avril à 20h30 à THORENS GLIERES/CINEMA LE PARNAL : Séance-débat en partenariat avec ATTAC
Synopsis
Pourquoi L’Assemblée ?
Le 31 mars 2016, place de la République à Paris naît le mouvement Nuit debout. Pendant plus de trois mois, des gens venus de tous horizons s’essayent avec passion à l’invention d’une nouvelle forme de démocratie. Comment parler ensemble sans parler d’une seule voix ?
In English
Why make a film like L’Assemblée ?
On March 31st 2016, place of the Republique in Paris, the movement Nuit Debout was born. For more than three months, people from different backgrounds passionately work on inventing a new kind of democracy.
How to speak together without speaking with only one voice?
Genèse du film
Présente comme citoyenne dès les prémisses de Nuit debout, je n’ai pas résisté le 1er avril 2016 – 32 mars selon le calendrier Nuit debout – à prendre une caméra. Il n’y a rien à faire, mon rapport au monde passe par le fait de le filmer. Je ne savais pas ce qui était en train de se passer sur cette place de la République mais je comprenais que c’était extraordinaire et méritait d’être raconté, autrement et indépendamment des médias qui n’en retenaient souvent que le plus spectaculaire. Très vite, j’ai pensé que pour raconter Nuit debout, il fallait laisser du temps au temps et venir tous les jours sur la place. Forcément, il n’y aurait pas de projet écrit au préalable, pas de temps de préparation et donc pas de possibilité d’être financé en amont. Il faudrait tout improviser sur une durée indéterminée. Pour moi habituée à repérer, écrire et préparer, c’était un plongeon dans l’inconnu. Mais j’ai décidé de le tenter et de laisser de côté toutes mes activités pour me consacrer à ce récit.
C’était ma façon de participer et de m’engager. Il faut dire aussi que je retrouvais à Nuit debout, une problématique qui m’obsède comme citoyenne et qui fait le cœur de mon cinéma depuis 25 ans : comment construire quelque chose ensemble tout en considérant chacun dans sa singularité? Comment réinventer le collectif ?
Cette question résonnait de mille manières à Nuit debout. Rapidement j’ai choisi de l’aborder à travers ce qui faisait le cœur battant de ce mouvement, la parole et sa circulation, c’est à dire concrètement l’assemblée et la commission qui avait en charge son fonctionnement. Comment parler ensemble sans parler d’une seule voix? Telle était une des questions de Nuit Debout, telle serait la question du film.
Sélection dans les Festivals
FestFIlmMaker de Milan (Italie)
Festa do cinema frances à Lisbonne (Portugal)
Festival de Cannes/Acid
Festival Résistances de Foix
États généraux du documentaire de Lussas
Photos du film
Photos de tournage
Après des études de cinéma à l’IDHEC, Mariana Otero se découvre une passion pour le documentaire. Elle réalise plusieurs films pour Arte dont La loi du collège qui deviendra le premier feuilleton documentaire de la chaîne. Puis elle se tourne vers le cinéma avec notamment Histoire d’un secret primé dans de nombreux festivals internationaux et « Entre nos mains » nominé aux César.
En 2013, elle réalise A ciel ouvert, un film qui permet de comprendre la vision singulière du monde d’enfants psychiquement et socialement en difficulté. En prolongement du film, elle écrit avec Marie Brémond le livre A ciel ouvert, entretiens. En 2017, elle finit la réalisation de L’Assemblée, un film tourné pendant Nuit debout, qui montre comment les gens sur la place de la République à Paris s’essayent à la réinvention de la démocratie.
Par ailleurs, elle a enseigné aux Ateliers Varan dont elle est membre depuis 2000, à la Femis, à l’université de Jussieu, au Creadoc (Université de Poitiers/ Angoulême) où elle a été responsable du Master 2 Documentaire de Création pendant six ans (2006-2012), à l’ECAL (Lausanne) etc… Elle est membre de l’Acid dont elle a été co-présidente de 2010 à 2012.
Filmograghie sélective
2017 : L’Assemblée (Documentaire, 98’)
2013 : A ciel ouvert (Documentaire, 110’)
2010 : Entre nos mains (Documentaire, 90’)
2003 : Histoire d’un secret (Documentaire, 90’)
1997 : Cette télévision est la vôtre (documentaire, 60’)
1994 : La loi du collège (feuilleton documentaire, 6 épisodes de 28’)
1991 : Non-Lieux (75’ documentaire, co-réal A.Rojo.)
Tous debout avec Mariana Otero Cannes 2017- Une interview avec Universciné
La presse en parle…
« Dans cette chronique de Nuit Debout, la grande documentariste Mariana Otero épouse la fragile effervescence du mouvement qu’elle a suivi d’un bout à l’autre. » Louis Guichard – TÉLÉRAMA
« À partir de ce qu’elle voit et entend, ressent et comprend Place de la République, Mariana Otero s’attache à rendre sensible une réflexion politique au sens à la fois le plus élevé et le plus vaste du terme. Cette réflexion concerne tous ceux, infiniment plus nombreux que les participants et sympathisants de Nuit Debout, qui s’interrogent sur les formes possibles de la vie politique aujourd’hui et de demain. » Jean-Michel Frodon – Projection publique / SLATE
« L’Assemblée envisage la parole comme une chose vivante, incarnée dans des corps, et qu’il est encore possible de remodeler, à travers des gestes ou des tentatives originales pour la faire circuler… » Laura Tuillier – LES CAHIERS DU CINÉMA
« Dans L’Assemblée, Mariana Otero a fait de la parole, de ses envolées et de ses bégaiements, le personnage principal d’un documentaire enthousiasmant. » Sonya Faure – LIBÉRATION
« La beauté du film tient beaucoup à la simplicité de son propos rappelant que sous les cendres des lendemains qui chantent se cachent parfois de plus discrètes révolutions. » Adrien Dénouette – TROIS COULEURS
« Mariana Otero a saisi admirablement cette brèche spatio-temporelle qu’offrait Nuit Debout à l’histoire, à la politique et au politique, au collectif que nous sommes, habitants de la France. » Ioanis Nuguet – L’HUMANITE
« La démocratie doit s’apaiser, se reconstruire et surtout n’exclure personne. Voilà ce qu’il faut retenir. Voilà ce qui fait de L’Assemblée un joli film social, politique, militant, et cependant apartisan. » Arthur Champilou – A VOIR A LIRE
« La cinéaste organise son film autour d’une question fondamentale : comment parler ensemble sans parler d’une seule voix ? » Marie Soyeux – LA CROIX
« Voir ce film aujourd’hui, ce n’est pas céder au cynisme du confortable du « ça n’a servi à rien », mais au contraire apprécier avec du recul un moment où la société a bougé, s’est mise en mouvement, a créé, imaginé, rêvé… » Serge Kaganski – LES INROCK